Vous trouverez ici les réponses aux questions les plus couramment posées concernant l'ostéopathie, le déroulement des consultations ou les modalités de remboursement.
N'hésitez pas à nous contacter directement si vous ne trouvez pas la réponse à votre interrogation.
Pas forcément ! Il existe d'autres techniques beaucoup plus douces pour parvenir au même résultat. Le "cracking" n'est pas indiqué chez tous les patients. Le craquement n’est en aucun cas un signe de réussite ni de dangerosité. C'est l'ostéopathe qui juge nécessaire ou non d'utiliser cette technique.
L'ostéopathe est formé pour traiter tous les champs. Cependant, certains se forment davantage dans des domaines spécifiques (périnatalité, sport). Attention toutefois : l'ostéopathie repose sur une prise en charge globale. Se dire "spécialiste" d'une seule partie du corps (ex: crânien) est contraire à ce principe.
Dès la première semaine. Il est conseillé de vérifier rapidement après la naissance que les structures sont mobiles (crâne, corps). Motifs fréquents : coliques, plagiocéphalies (tête plate), reflux, torticolis.
Non. L'ostéopathie est une thérapie manuelle. La prescription est le rôle exclusif du médecin.
Non. Elle est complémentaire. Elle ne remplace pas la chirurgie, la médecine ou la psychologie. Si besoin, Benjamin Houry vous orientera vers un médecin, kiné ou podologue adapté.
Ce sont deux métiers complémentaires. La kiné (souvent sur prescription) s'occupe de la
rééducation
(post-trauma, douleurs).
L'ostéopathie cherche la CAUSE du symptôme pour le traiter (ex: traiter une cheville pour
soulager
un dos).
Note : Un praticien ne peut pas mélanger les deux activités dans une même séance facturée en
kiné.
La Sécurité Sociale ne rembourse pas l'ostéopathie. En revanche, de nombreuses
mutuelles prennent en
charge les séances.
Une facture vous sera remise pour votre remboursement.
Une pratique courante consiste, pour certains praticiens kiné-ostéo ou médecin-ostéo, à
faire passer des actes d'ostéopathie pour des actes de kinésithérapie ou de médecine, afin
que le patient soit intégralement remboursé. Cette pratique est illégale et punissable par
la loi.